Ce nouveau film d'amour sur Netflix va te faire brailler sans arrêt

Les histoires d'amour c'est pas mal toujours triste! On commence à être habitué. Il y a toujours une chicane qui arrive à un moment donné ou un obstacle qui empêche les deux personnes d'être ensemble comme ils le souhaitent. Par contre, à la fin tout est bien qui finit bien et tu le sais que Brittany va enfin pouvoir vivre avec Tedd même si ses parents sont en désaccord...
Dans le cas du filmIrreplaceable You, c'est un peu différent. En fait, je ne te cacherai pas que tu vas brailler comme un veau, mais la différence est que dans ce cas, l'amour est automatiquement voué à l'échec. C'est ce qui fait toute la beauté du film.
Je m'explique. Le couple d'Abbie et Sam est complètement chamboulé lorsqu'ils apprennent qu'Abbie a un cancer en phase terminale. De toute évidence, elle va mourir (ne t'en fait pas ce n'est vraiment pas un spoiler).
Étant un couple depuis qu'ils sont des enfants, Abbie se lance à la recherche d'un nouvelle copine pour prendre bien soin de Sam.
Bon, en plus d'être une magnifique histoire d'amour, le film démontre aussi le deuil que doit faire une personne en phase terminale, devant sa situation et celle des autres.
Ce qui est touchant dans le film, c'est oui l'histoire d'amour, mais aussi la réalité des gens malades ainsi que de leurs proches. Se dire que la personne que tu vois et que tu aimes ne sera peut-être pas là demain est quelque chose de complètement fascinant et tellement triste à la fois. Irreplaceable You le démontre parfaitement
Le film traite beaucoup de lâcher-prise et met vraiment de l'avant toutes les manières de comment quelqu'un qui est en phase terminale peut réagir.
Au début, je l'ai écouté sans aucune attente parce que les films d'amour ce n'est vraiment pas tasse de thé, mais cette soirée-là je me sentais un peu romantique.
Après les 10 premières minutes, j'ai tout de suite réalisé que je n'avais pas affaire au roman-savon traditionnel et qu'il y avait quelque chose de plus profond à tout ça. En fait, j'ai réalisé ça que je me lamentais comme un GROS bébé devant mon écran d'ordinateur. C'est fou comme ça devient plus évident à ce moment-là...