Élisabeth Rioux répond aux rumeurs qu'elle achète des maillots en Chine pour les revendre

C'est un phénomène qui a toujours été présent, mais depuis un certain temps des rumeurs courent que des compagnies québécoises commanderaient des produits provenant de site chinois. On peut effectivement voir certains modèles très semblables à des Hoaka sur Alibaba ou Aliexpress.
Par contre, l'influenceuse n'a pas hésité à répondre à ces rumeurs la fin de semaine dernière alors qu'une situation a explosé concernant Blaze Swimwear. Bien qu'il est vrai que l'on puisse retrouver des modèles ressemblants, il ne faut pas se faire avoir parce que ce n'est pas du tout la même chose. Alors qu'Élisabeth s'est fait pointer du doigt, elle nous explique dans ses stories que c'est loin d'être la même qualité.
Tandis que les maillots de sa compagnie sont en néoprène, ceux vendus sur les sites chinois ont une qualité inférieure à celle-ci et sont en fait des copies de ses maillots internationalement connus.
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Les designs ne seraient également pas les mêmes, on peut le remarquer à des différences comme les bretelles aux épaules. De plus, ils ne se contenteraient pas de copier les modèles, mais ils prendraient également les photos de la créatrice de contenu elle-même, et d'Hoaka Swimwear.
On peut comprendre qu'Élisabeth Rioux trouve ça triste de recevoir de telles accusations et que ses maillots soient reproduits ailleurs. Elle espère de tout coeur que ça se règlera avec sa collection en collaboration avec Pony qui est difficilement copiable.
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