Selon une étude publiée ce 25 février par l'entreprise immobilière Royal LePage, 68 % des non-propriétaires de 25 à 35 ans ont l'intention de s'acheter une maison dans les cinq prochaines années au Québec.
Donc si ton appartement te semble de plus en plus petit depuis le début de la pandémie et que tu songes à faire le grand saut, tu n'es pas seul.
Pour plusieurs, l'achat d'une première propriété peut sembler incertain ces temps-ci, c'est pourquoi Narcity a demandé des conseils à une pro de l'immobilier pour y voir plus clair.
Comment se porte le marché immobilier au Québec?
Malgré la pandémie, les ventes de maisons vont très bien au Québec, selon Roxanne Jodoin, courtière immobilière chez Royal LePage.
« Ça fait sept ans que je fais ce métier-là, et [cette année] j'ai battu mon propre record à moi », dit-elle.
L'étude mentionnée plus haut abonde dans le même sens. Les milléniaux, surtout, ont pris d'assaut le marché en se cherchant des propriétés en banlieue.
« Les taux hypothécaires sont descendus à des niveaux planchers », dit-on, ce qui est avantageux pour investir, surtout si on pense à l'augmentation du télétravail, qui favorise le goût d'avoir son propre chez-soi.
« Je remarque aussi un retour aux sources chez plusieurs d'entre eux. Certains avaient quitté leur banlieue natale pour faire leurs études en ville et la conjoncture actuelle les incite à revenir pour profiter de plus de pieds carrés, d'un jardin et d'un espace qui leur appartient », dit Mme Jodoin.
« La quête de devenir propriétaire est de plus en plus importante pour cette génération et j'observe qu'ils sont très nombreux à passer à l'action », explique-t-elle.
S'il y a plus de gens qui cherchent à acheter, est-ce que ça influence les prix?
Roxanne Jodoin admet que la concurrence est actuellement forte pour les propriétés autour des centres urbains dans la province.
En novembre 2020, Charles Brant, de l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec, avait dit à Narcity que le prix des résidences à Montréal était de plus en plus élevé. Les régions en périphérie comme la Montérégie ont aussi monté en popularité.
« Les situations d'offres multiples et de surenchères peuvent rendre le processus d'achat accaparant. Il est important de prendre des décisions équilibrées et de miser sur des propriétés qui conserveront leur valeur au fil des ans », affirme-t-elle.
Dans ce contexte, quels conseils pourrait-on donner aux futurs acheteurs?
« En ce moment, le meilleur conseil que je peux donner, c'est de s'armer de patience et de bien se préparer », commence Roxanne Jodoin.
Concrètement, elle suggère d'emblée d'obtenir une préqualification bancaire avant toute visite pour se donner une meilleure chance de voir son offre d'achat acceptée.
« Les offres d'achat conditionnelles ont nettement moins la cote dans le marché actuel », dit-elle. En gros, ça veut dire que si tu es déjà propriétaire d'un condo, par exemple, il vaut vraiment mieux le vendre avant de magasiner une nouvelle maison.
Elle conseille aussi d'être persévérant et résilient, puisque les offres d'achat multiples et la surenchère sont monnaie courante.
« Il n'est pas rare que [les futurs acheteurs] puissent déposer jusqu'à trois, quatre, cinq offres d'achat avant que ça fonctionne. »
« C'est difficile parce qu'émotivement, on visite, on tombe en amour, et à chaque fois c'est un petit deuil à faire, une peine d'amour. Il faut être prêt », ajoute-t-elle.
Assure-toi aussi de te rendre disponible pour visiter, puisque les plages horaires de visites sont réduites sur trois ou quatre jours seulement, et il faut être préparé à réagir vite.
Est-ce qu'on peut quand même avoir espoir de trouver une maison intéressante?
Absolument, répond Mme Jobin. « On finit toujours par trouver, même si ça peut prendre plus de temps qu'à la normale. »
Elle voit aussi un créneau intéressant pour les jeunes qui ont des habiletés manuelles qui veulent acheter une maison pour la rénover.
Sans trop spéculer, la courtière pense aussi que les prix devraient se stabiliser durant les prochaines années, « de sorte que les gens vont pouvoir acheter à des prix similaires à aujourd'hui ».
Dans le cas où les prix augmenteraient, selon elle, ce sera alors les vendeurs qui pourraient ressortir gagnants sur le marché.
Avec la pandémie, les sorties, les voyages et les déplacements sont limités, ça peut donc être un bon moment pour économiser sur ces dépenses et penser à un nouveau projet.
Ayant fait un grand retour après presque dix ans d'absence, la nouvelle mouture de Star Académie est maintenant bien commencée et lors de la deuxième semaine de l'aventure, les académiciens et le producteur Jean-Philipe Dion discutent des dessous de l'émission.
Dans une entrevue en coulisse du studio de tournage à laquelle Narcity fut invité le vendredi 19 février, les trois académiciens qui étaient en danger, soit Shayan, Maëva et Olivier, se sont confiés sur ce que c'est que de se donner en spectacle en direct sans public.
Ils ont également révélé comment se passent les journées avec le groupe à l'académie et même sur la quarantaine qui a eu lieu avant le premier épisode de variété.
Jean-Philippe Dion, pour sa part, a expliqué les réalités d'une production à grande échelle en temps de pandémie.
Les spectacles sans public et en direct à Star Académie
Olivier : « On a fait des répétitions, on en a fait plusieurs, puis c’est sûr que comparé à une générale, il n’y avait pas grands différences, à part l'énergie. On le savait qu’on était en direct.
« Tout le long des répétitions, on avait une télé en avant qu’on se voyait dedans et là, cette fois-ci, ils l’avaient éteinte. Ça a été la grosse différence qu’on ne se voyait pas.
« Je pense que tout le monde le sait qu’il y a du monde qui regarde en ce moment, que c’est là qu’il faut pas se planter, que c’est là qu’il faut tout donner. Fait qu’il y avait une fébrilité, une genre d’énergie qui était contagieuse entre les participants. Je pense qu’on se crinquait aussi dans les pauses.
« Sinon ben, on l’oublie qu’il y a pas de public, on le sait, tsé c’est sûr qu’on regarde un petit peu plus les caméras, on essaye d’aller chercher le téléspectateur plus que d’aller chercher juste le spectateur dans la salle. »
Shayan : « C’est pas quelque chose qui me dérangerait de faire avec ou sans public, parce que moi, que le public soit là ou pas, j'essaye de garder cette connexion qui est au-delà de ce monde physique.
« Puis quand j'arrive à me connecter avec l'univers et puis tout, j'ai tendance à croire — pas croire, mais je le sais — que je suis connecté avec tout le monde. Qu'ils soient là ou pas, j'ai cette connexion puis ça me fait du bien. »
Maëva : « Personnellement, tu sais, ça m’a fait spécial parce que je suis quand même habituée d’être sur scène [alors] de ne pas avoir les applaudissements, même entendre le bruit du public qui parle ou peu importe qui fait du bruit, ça m’a fait spécial.
« Mais j’ai pareil aimé ça et ça m’a permis de me focusser sur notre performance de groupe et la mienne. »
Le quotidien dans les maisons
Olivier : « On est vraiment une belle gang puis ça paraît qu’on a passé deux semaines ensemble avant aussi. Y’a pas eu, peut-être comparée aux autres années, une adaptation au niveau du groupe, nous on se connaissait déjà. On avait déjà des inside ensemble fait qu’on est rentré dans l’académie puis l’ambiance de groupe était déjà assez bonne. »
Shayan : « On est vraiment proche, moi je les considère comme une famille. Ça fait du bien d’être avec des gens qui adorent la musique comme j’aime la musique. Puis c’est beau à voir parce que tout le monde est différent. Tout le monde partage cette passion différemment, c’est beau, ça m’inspire… »
Maëva : « On est comme déjà une petite famille unie, on s’aime tous d’amour. On s’aime trop, on a créé vraiment une belle union chacun d’entre nous ensemble. »
La production d'une émission offerte au grand public en temps de pandémie
Jean-Philippe Dion : « Sur le plateau, il faut penser quand on fait un variété musical, il y a de la musique en répète, là on essaye de se parler, de se donner des indications, à deux mètres, avec un masque.
« C’est super compliqué, c’est dur. Cette équipe-là aussi, on a tous été chacun chez nous pour travailler ça depuis un an, alors ça aussi.
« Des fois c’est de la musique qu’on veut écouter, on veut se présenter de la mise en scène, mais en étant chacun chez nous, tout a été plus long, plus difficile.
« Mais là ça fait du bien, parce que là depuis qu’on est en production, évidemment on est au studio pour travailler, on est à l’académie pour travailler la semaine…
« Je dirais que c’est le plus grand casse-tête en variété en ce moment au Québec : comment plaire à un large auditoire?
« Je pense que de moins en moins d’artistes vont plaire à un large auditoire, donc il faut fragmenter le type d’artistes qu’on va aller chercher pour plaire à cet auditoire-là.
« Fait que c’est ça qu'on est en train de voir, d’ajuster aussi en voyant qu’est-ce que le public aime et qu’est-ce que le public n’aime pas. »
Rassemblements,buffets, inviter Mamie et Papi ou non : malgré l’annulation du temps des Fêtesen zone rouge, plusieurs ont de la difficulté à comprendre ce qui est permis ou non et, surtout, où.
Le premier ministre François Legault a rendusa décision finale à l’avance, alors que le nombre de cas n’est pas près de descendre sous la barre des 1 000 cas journaliers.
Ainsi, seules les personnes en zone jaune et orange pourront se rassembler à Noël. Par contre, il y a certaines règles et restrictions à respecter et voici ce que tu dois savoir.
Est-ce que j'ai le droit d'aller chez mes parents un soir et dans la famille à mon/ma partenaire l'autre soir?
Les résidents des zones jaunes et oranges ont droit de se rassembler du 24 au 27 décembre.
Par contre, le premier ministre Legault recommande à la population de s’en tenir à deux rassemblements.
Dix personnes ou trois ménages maximum par rassemblement et le tout s’applique aux deux paliers d’alertes régionales.
Tu ne voudrais surtout pas sortir le chéquier pour payer 1 500 $ d’amende, non ?
Est-ce qu'une personne en zone rouge peut aller fêter Noël en famille en zone verte, jaune ou orange ?
Non.
En octobre dernier, la vice-première ministre avait affirmé queles règles applicables dans une région rouge s'appliquent aux résidents, même s'ils sortent de leur territoire.
Et, faut-il le rappeler, les déplacements interrégionaux ne sont pas recommandés.
Louer un chalet, c'est faisable?
Oui, mais les disponibilités se font rares et il faudra louer un chalet dans sa propre région.
Les mêmes règles s'appliquent : dix personnes et trois maximum par rassemblement.
Est-ce que je peux donner des câlins à mes proches?
« On peut s’en donner », avait affirmé la microbiologiste-infectiologue à Narcity Québec, Dre Caroline Quach, mais le moins possible.
« Si on en donne, idéalement, il faut être capable d’en donner sans être près du visage de l’autre », précisait-elle, ajoutant que la COVID-19 se transmettait « quand nos flores respiratoires se croisent ».
De dos, les câlins seraient donc envisageables. Concernant les bisous, c'est à éviter.
Différents experts et le gouvernement suggèrent fortement de porter le masque en tout temps, sauf au souper.
Un morceau de dinde dans le masque, ce n'est pas l'idéal.
Les grands-parents pourront-ils célébrer en famille ?
Qu’ils vivent en résidence pour personnes âgées, enCHSLDou dans leur bungalow de la Rive-Sud, le gouvernement Legault leur donne le go.
Dre Quach affirmait qu’il était préférable de séparer les personnes à risque, comme Mamie et Papi, des autres.
Ça inclut les personnes atteintes de maladies chroniques ou ayant un système immunitaire affaibli ou déficient.
Est-ce que je peux faire un potluck?
En fait, ce n'est pas l'option la plus idéale en temps de pandémie, tout comme les buffets.
Il faudrait que les dix invités (maximum) suivent à la lettre les règles sanitaires en place, comme le lavage des mains.
Lors du repas, il est recommandé qu'une seule personne soit responsable du service et qu'elle porte un masque pendant qu'elle sert une pelletée de saucissescocktail sucrées ou la salade de pâtes de Sonia.
Pourrons-nous organiser un échange de cadeaux ?
Le gouvernement ne voit pas de problème à ce qu'un échange de cadeaux ait lieu durant les festivités des Fêtes.
Si les participants se lavent les mains après la manipulation des objets, gardent une distance de deux mètres, portent le masque et évitent de manger durant l'échange, tout sera beau.
Avec le prolongement des mesures en zone rouge, les activités sont annulées pour la grande majorité et les rassemblements sont interdits.
Cela te laisse sûrement beaucoup de temps libre pour binge watcher des films et prendre du temps pour toi. Et si tu utilisais aussi ce temps pour t'informer, apprendre de nouvelles choses et faire du développement personnel?
Les 28 prochains jours chez toi te serviront peut-être pour le restant de ta vie si tu les utilises à bon escient.
Profite de ce moment monotone de l'année 2020 pour devenir une meilleure personne grâce à cette liste.
Apprendre une nouvelle langue
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Ces deux jeux-questionnaires, un débutant et un pour les experts, te permettent de te creuser les méninges sur tes connaissances concernant la province,
En plus, après chaque choix, tu as droit à une explication très éducative sur le sujet de la question.
Informe-toi davantage sur les enjeux féministes grâce à ce documentaire
Le documentaire Feminists : What Were They Thinking a été réalisé en 2018 et aborde différents volets du féminisme en constante évolution. Il est disponible sur Netflix.
Sur le site de l'Office national du film du Canada, plusieurs films de cinéastes autochtones et productions qui mettent en valeur leur identité culturelle et leur histoire sont disponibles gratuitement.
Tu pourras ainsi t'éduquer sur la réalité des peuples autochtones au Canada.
Depuis le 12 septembre dernier, les forces policières de la province sont en mesure de donner des constats d'infraction sur place aux récalcitrants face aux consignes de la santé publique en matière de COVID-19.
Ce lundi 28 septembre, la Sûreté du Québec (SQ) a dévoilé son bilan à ce sujet pour la semaine dernière et a du même coup expliqué pourquoi peu d'amendes sont données.
2306
Avertissements verbaux émis entre le 14 et le 27 septembre
Il est à noter qu'en vertu de ce décret, les policiers doivent émettre un #avertissement et donner une opportunité… https://t.co/bujDaILNEy
— Sûreté du Québec (@Sûreté du Québec)
1601298087.0
C'est via Twitter que la SQ a annoncé avoir émis pas moins de 2306 avertissements verbaux entre le 14 et le 27 septembre sur l'ensemble de son territoire.
Seulement sept constats d'infractions ont été donnés.
De plus, 944 établissements licenciés ont été visités ainsi que 1360 « autres endroits ».
La SQ explique qu'en vertu du décret de la santé publique, « les policiers doivent émettre un #avertissement et donner une opportunité raisonnable au citoyen de se conformer au décret ».
C'est seulement si quelqu'un refuse de collaborer qu'un constat sera émis :
« Si le citoyen refuse de s'y conformer, un constat d'infraction peut alors être signifié. »
Photo de couverture utilisée à titre indicatif seulement