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l'aéroport

Le nom de l'aéroport Pierre-Elliott Trudeau suscite la controverse depuis quelques jours, depuis qu'un télégramme dans lequel Trudeau père disait vouloir augmenter le chômage au Québec pour nuire au gouvernement de René-Lévesque a été rendu public.

Ces informations, obtenues par le pendant anglophone de Radio-Canada, CBC, ont poussé la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal à organiser une pétition pour attribuer le nom de René-Lévesque à l'aéroport de la métropole.

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Peu importe si c'est pour un voyage essentiel ou non, prendre l'avion en temps de pandémie, c'est assez complexe. Et maintenant que le couvre-feu au Québec est en vigueur, plusieurs se posent davantage de questions sur les vols de soirée et de nuit. 

L'Aéroport international Montréal-Trudeau (YUL) a partagé quelques directives concernant les déplacements des passagers dans la province. 

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Oui, les voyages sont toujours permis, mais selon certaines restrictions. Voilà qu’une dizaine de vols ont décollé ou ont atterri à l'aéroport Pierre-Elliott Trudeau à Montréal dans les deux dernières semaines, et ce, avec au moins un cas de COVID-19 à bord.

C’est ce qui ressort des données disponibles sur le site web du gouvernement du Canada, mises à jour tous les jours. Les informations recueillies touchent autant les vols internationaux que domestiques.

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Bien que plusieurs régions du Québec soient sur pause, le trafic de drogue, lui, ne l’est pas et l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) en sait quelque chose, alors qu’elle ne cesse de saisir de grandes quantités de drogues et stupéfiants.

Oui, Pablo Escobar n’est plus, mais la contrebande de cocaïne, elle, perdure malgré tout. C’est du moins ce que l’on peut constater en zyeutant les réseaux sociaux de l’ASFC.

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