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violence conjugale

Chloé Lauzon-Rivard, Narjess Ben Yedder, Lorraine Marsolais, Hayette Bouguelllid, Louise Houde, Josianne Faucher et Marie-Claude Raymond : ce sont les sept victimes de féminicides au Québec depuis le 5 janvier 2024 en contexte de violence conjugale, au moment d'écrire ces lignes. Ce bilan est le même que pour l'ensemble de l'année dernière, ce qui préoccupe l'organisme SOS violence conjugale. Surtout car pendant ce temps, des victimes qui souhaitent fuir leur partenaire violent sont très souvent laissées pour compte, faute de places dans les maisons d'hébergement.

En l'espace de seulement quatre mois, il y a eu autant de meurtres conjugaux présumés que pour toute l’année 2023. Cet enjeu alarmant survient au moment où des organismes ne parviennent pas à héberger de nombreuses victimes lorsqu'elles sont prêtes à faire « le gros move », comme le souligne Claudine Thibaudeau, responsable du soutien clinique et de la formation chez SOS violence conjugale. L'impossibilité de trouver une place pour une personne en détresse est la dure réalité à laquelle est confronté l'organisme, et ce, plusieurs fois par jour.

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Alors que le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) annonce qu'elle veut mieux former ses effectifs au sujet des étranglements en contexte de violence conjugale, Narcity Québec a appris que le nombre de dossiers s'étant retrouvés devant la justice pour ce type d'agression a monté en flèche depuis 2020.

Cet enjeu est d'ailleurs au coeur d'un problème social de plus en plus préoccupant, car le corps policier montréalais a également enregistré une légère hausse au cours des dernières années de tous les évènements liés à la violence conjugale ayant nécessité leur intervention.

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Après des mois de procédures judiciaires, le dossier de l'ex-conjoint d'Élisabeth Rioux, Bryan McCormick, était de retour devant le tribunal, le mardi 5 juillet 2022, pour la prononciation de la peine. Celui qui a plaidé coupable à des accusations de voies de fait et de menaces de mort en matière de violence conjugale a été condamné à six mois de prison.

L'accusé s'est présenté au palais de justice de Saint-Jérôme pour recevoir sa sentence. C'est suite aux représentations des deux parties que la juge Nancy McKenna a établi que la peine proposée était raisonnable. L'accusé devra donc purger six mois de détention ferme, en plus d'une probation de trois ans avec suivi psychologique en matière de gestion de colère et d'émotions.

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La violence conjugale au Québec est un enjeu qui préoccupe de plus en plus la population. D'après une étude de l'Université de Sherbrooke, 22,5 % des femmes en couple sont exposées à de la violence conjugale à Montréal. Le jour des déménagements étant traditionnellement le 1er juillet dans la province, l'organisme Transit Secours lance un appel urgent aux bénévoles pour venir en aide aux victimes qui souhaitent quitter un foyer violent. Ce serait des dizaines de femmes et d'enfants qui sont dans le besoin.

« Nous constatons une augmentation du nombre de demandes de déménagement en raison de l'augmentation de la violence basée sur le genre et de la crise actuelle du logement », a déclaré Renata Fuchs Militzer, directrice de la succursale Transit Secours région de Montréal, par voie de communiqué.

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Alors que la fusillade perpétrée dans une école primaire à Uvalde, aux États-Unis, a fait réagir à l'internationale, Justin Trudeau a annoncé ce 30 mai, lors conférence de presse, qu'il avait déposé un nouveau projet de loi (C-21) pour renforcer le contrôle des armes à feu au Canada.

« Un Canadien tué par une arme à feu en est un de trop. Je suis bien conscient du coût tragique de la violence par arme à feu dans nos communautés. Aujourd’hui, nous proposons certaines des mesures les plus rigoureuses de l’histoire du Canada pour garder les armes à feu hors de nos communautés et bâtir un avenir plus sûr pour tous », a déclaré le premier ministre du Canada.

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