Le prix de l'essence augmente au Québec et voici où ça coûte le plus cher présentement
Selon les experts ça ne risque pas de baisser ces prochaines années.

Faire le plein d'essence.
La flambée du prix de l'essence fait beaucoup jaser depuis plusieurs mois et ces deux derniers jours, le coût moyen du carburant augmente dans la province. Alors, si tu veux sauver des sous à la pompe, ça peut valoir le coup de faire quelques détours, donc voici les endroits où ça coûte le plus cher, afin que tu puisses les éviter.
Selon CAA National, le tarif moyen de l'essence est de 153 cents le litre ce mardi 10 janvier et il serait en hausse depuis ces deux derniers jours. À titre comparatif, la veille, il fallait débourser 151,5 cents le litre, tandis que le mois passé, la valeur de l'or noir avait chuté à 146,4 cents le litre.
C'est à Lévis (161,9 cents), Val-d'Or (161,4 cents), Rimouski (161,3 cents), Rivière-du-Loup (160,9 cents), Rouyn-Noranda (160,9 cents), Saint-Jérôme (159,9 cents), Matane (158,9 cents), Gaspé (158,6 cents), Trois-Rivières (157,7 cents), Drummondville (157,6 cents) et Québec (157,6 cents) que l'essence coûte le plus cher.
À Magog (155,9 cents), Sept-Îles (154,2 cents), Alma (153,9 cents), Shawinigan (152,8 cents), Sherbrooke (151,9 cents), Granby (152,1 cents), Montréal (151,8 cents), Blainville (151,2 cents) le carburant est proche du prix moyen.
Tandis qu'il faudra se rendre à Brossard (150,9 cents), Repentigny (150,9 cents), Saint-Eustache (150,8 cents), Laval (150,6 cents), Longueuil (150,4 cents), Saint-Hyacinthe (149,9 cents), Saint-Jean-sur-Richelieu (149,1 cents), Vaudreuil-Dorion (147,9 cents), Chicoutimi (144,1 cents) et Gatineau (140,6 cents) pour payer le moins cher.
Notons que d'après un nouveau rapport de la multinationale Deloitte les tarifs devront continuer d'augmenter ces prochaines années.
« Au Canada, des politiques et des engagements tels que la proposition de plafonnement des émissions annoncée à la COP27, l'engagement de définir et d'éliminer progressivement les subventions inefficaces aux combustibles fossiles d'ici 2025 et même l'annonce récente de la taxe de rachat pourraient exercer une pression supplémentaire sur les secteurs [de l'énergie], ajoutant au poids économique que certaines entreprises ressentent déjà », peut-on lire.
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