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immigrer au québec

Le gouvernement du Canada a mis en place des règles plus strictes pour les permis de travail d'un grand nombre de personnes en situation d'immigration. Ces changements pourraient avoir des répercussions sur les familles des étudiant.e.s internationaux ainsi que la main d'oeuvre étrangère à travers le pays.

Selon Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), l’admissibilité aux permis de travail ouverts (PTO) pour les familles se concentrera désormais sur les conjoint.e.s de la population étudiante internationale inscrite à des programmes très spécifiques. Cela s'appliquera également aux travailleur.euse.s étranger.ère.s occupant certains types d’emplois.

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Cela fait trois ans et demi que j'ai quitté la France pour immigrer au Québec et depuis, plusieurs choses m'ont surprise : la bouffe, la météo, les expressions ou encore la manière de consommer. Mais s'il y a bien une chose pour laquelle j'étais vraiment prête, c'est le budget alloué aux visas pour me permettre de réaliser mon rêve qui était de m'installer définitivement au Québec.

Pour illustrer toutes les dépenses et la paperasse que j'ai eu à faire pour y parvenir, j'ai énuméré tous les permis de travail dont j'ai eu besoin pour demander ou attendre ma résidence permanente et tous les frais qui entrent dans ces conditions. Notons que tous les prix indiqués sont ceux pour 2023 et qu'il est possible que j'aie dû débourser un peu moins que la somme indiquée, car les tarifs augmentent de dizaines de dollars tous les ans.

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Cela fait presque trois ans que j'ai quitté la France pour immigrer au Québec et plusieurs choses m'ont surprise comme la météo, la différence des menus du McDonald's, mais aussi les expressions. Après avoir mis du temps à comprendre ce que certaines d'entre elles signifient, il est toujours difficile pour moi de les utiliser correctement, par manque d'habitude.

Pourtant, certains termes sont entrés dans mon vocabulaire, couplés à des tocs de langage français comme le sacré mélange « Put*n de m*rde, fait ch*er TAB*RN*K » qui sort tout naturellement lorsque je suis énervée ou tout simplement le « tu veux-tu de quoi? ». Mais, il y a des mots, qui ne sont pas habituels et naturels dans mon langage, que j'ai l'impression que je n'arriverai jamais à prononcer de moi-même.

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La pénurie de main-d'œuvre au Québec fait jaser depuis quelques années et est souvent reliée à la question de l'immigration. Alors que la campagne électorale bat son plein, ce lundi 5 septembre, le Parti Québécois a indiqué qu'il voulait réduire le seuil d'immigration à 35 000 nouveaux arrivants par an, un seuil comparable aux années '90. Selon lui, c'est depuis que le nombre d'immigrants a augmenté à plus de 50 000 par an que la langue française a commencé à reculer.

« L’augmentation des seuils d’immigration nous a été présentée comme une solution à la pénurie de main-d’œuvre. Or, de nombreuses études démontrent que c’est totalement faux. Nous, notre premier critère, c’est réellement notre capacité d’accueil en français. Dans cette optique, le Parti Québécois s’engage à diminuer les seuils d’immigration en fonction de cette capacité », a déclaré par voie de communiqué Paul St-Pierre Plamondon, le chef du PQ.

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Ce samedi 9 avril, ce sont 2,5 millions de Français.es vivant à l'étranger qui étaient appelé.es aux urnes, une journée avant celles et ceux qui résident dans le pays, pour le premier tour des élections présidentielles. Malgré « mon droit et mon devoir civique », et le fait que j'aie un visa de travailleur.euse temporaire au Canada, j'ai refusé d'aller voter pour de multiples raisons, que ce soit de l'ordre pratique ou de l'ordre moral.

Il faut dire que depuis que j'ai foulé le sol canadien, en février 2020, j'ai seulement quitté la Belle Province deux fois, et ce, pour moins d'un mois au total. Je ne suis rentrée qu'une seule fois en France en deux ans, pour célébrer les fêtes de fin d'année.

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