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violences sexuelles

La violence conjugale au Québec est un enjeu qui préoccupe de plus en plus la population. D'après une étude de l'Université de Sherbrooke, 22,5 % des femmes en couple sont exposées à de la violence conjugale à Montréal. Le jour des déménagements étant traditionnellement le 1er juillet dans la province, l'organisme Transit Secours lance un appel urgent aux bénévoles pour venir en aide aux victimes qui souhaitent quitter un foyer violent. Ce serait des dizaines de femmes et d'enfants qui sont dans le besoin.

« Nous constatons une augmentation du nombre de demandes de déménagement en raison de l'augmentation de la violence basée sur le genre et de la crise actuelle du logement », a déclaré Renata Fuchs Militzer, directrice de la succursale Transit Secours région de Montréal, par voie de communiqué.

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La Fondation canadienne des femmes a publié un sondage ce 7 mars qui dévoile qu'il y a un écart important entre la volonté de mettre fin à la violence faite aux femmes au Canada et la capacité à soutenir les victimes. Ce serait près d’un quart des Canadien.nes, plus précisément 23 % d'entre eux et elles, qui auraient répondu que la violence conjugale « ne [les] regarde pas parce qu'elle ne [les] concerne pas directement ».

Les chiffres montrent également que les femmes ont du mal à demander de l'aide : 35 % des survivantes (toutes formes de violences confondues) auraient eu peur de ne pas être écoutées et 27 % d'entre elles pensent que personne ne va les croire. Au total, ce sont également 32 % des victimes qui n'ont pas rien signalé à leurs proches « parce qu'elles pensaient qu'elles seraient jugées, blâmées ou humiliées ».

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Le 14 février, c'est la Saint-Valentin, que l'on nomme aussi fête de l'amour. Or, sur Facebook, la Sûreté du Québec a partagé un message fort aux Québécois.es à propos de la violence conjugale et c'est à la personne qui commet ces infractions qu'elle s'est directement adressée.

« Ce n’est pas parce que c’est la Saint-Valentin que tu as droit à une relation sexuelle, qu’elle doit t’envoyer des images intimes, que tu peux décider des vêtements qu’elle portera au souper, qu’elle est obligée d’accepter tes excuses pour des gestes de violence antérieurs, que tu as le droit de briser des ordonnances de non-communication », est-il écrit sur la publication.

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Après avoir annoncé la création d'un tribunal spécialisé en violences sexuelles au Québec, le ministre de la Justice, Simon Jolin-Barrette, a annoncé en conférence de presse, ce 27 septembre, que les victimes de violence conjugale et de violences sexuelles auront accès à un service juridique gratuit au Québec.

« Aujourd'hui nous annonçons la mise en oeuvre d'une nouvelle mesure forte attendue soit la création d'un service de consultation juridique pour les personnes victimes de violence sexuelle et conjugale », a indiqué le ministre de la Justice.

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