Élisabeth Rioux s'ouvre sur ce qu'elle recherche dans une prochaine relation
« Je suis gênée, moi, mettons mon chum, ça va prendre un an avant qu'il me voie toute nue, minimum. »

La créatrice de contenu Élisabeth Rioux.
Faire des rencontres amoureuses après une séparation peut être difficile, mais rencontrer quelqu'un alors qu'on jongle entre un enfant qu'on élève seul.e et une entreprise peut être encore plus compliqué. C'est ce que la créatrice de contenu Élisabeth Rioux a abordé lorsqu'elle s'est ouverte sur ce qu'elle recherche dans une future relation. Dans le quatrième épisode du balado Un P'tit Talk, animé par Catherine Bastien et Audrey Deslauriers, la jeune maman a notamment parlé de l'allaitement, de son entreprise, mais aussi de sa vie sentimentale.
C'est l'influenceuse santé et bien-être Catherine Bastien qui a tout simplement demandé à son amie et colocataire actuelle, Élisabeth Rioux, ce qu'elle recherchait dans une prochaine relation en termes de valeurs, de style de vie, et plus :
« Pour vrai, je ne sais pas ce que je veux. Depuis que j'ai Wolfie, mon travail et tout, je suis tellement occupée. Oui, il y a des moments quand je me couche le soir que j'aimerais avoir quelqu'un avec qui partager tout ça. [...] De ne pas avoir quelqu'un avec qui partager ma vie, c'est sûr que ça me manque et on s'entend que c'est un peu un but de vie d'être avec le papa de ton enfant. On dirait que j'aimerais ça claquer des mains demain matin et être dans une routine avec un gars. »
Élisabeth continue en expliquant qu'elle n'a malheureusement pas le temps en ce moment de se consacrer à une nouvelle personne puisque ses temps libres sont réservés à sa fille Wolfie :
« Le dating de genre rencontrer des gars, faut au moins qu'on sorte ensemble depuis six mois pour que tu rencontres ma fille, c'est trop important. Je ne veux pas que tu rencontres ma fille, mais les soirées que j'ai de libre, je veux les passer avec ma fille, je n'ai pas le temps pour toi. Je ne vais pas aller dormir ailleurs, moi, je dors avec ma fille et c'est tout. Si jamais, une soirée aux trois semaines, je sors avec mes amies, je m'en vais chez [elles], je m'ennuie de mes amies aussi. On dirait que je n'ai pas le temps de dater et de rencontrer. [...]
« Je suis tellement mélangée que peut-être dans le fond, je ne suis juste pas là. Moi, j'ai besoin d'un gars qui va être disponible quand je le suis, mais quand je ne suis pas disponible, il ne m'achale pas, ça, ça n'existe pas, je ne peux pas avoir quelqu'un qui vit pour moi. On dirait que ça me cringe un gars qui pense qu'il peut rentrer dans ma vie avec Wolfie, qu'est ce qu'on a moi pis Wolfie en ce moment c'est trop important. »
La propriétaire de la marque Hoaka Swimwear a ensuite mentionné qu'une fréquentation à temps partiel serait peut-être ce dont elle a besoin, mais que les histoires d'un soir ne l'intéressent pas :
« Peut-être qu'en ce moment, j'ai juste besoin mettons d'un f*ck friend. Je n'ai jamais eu de one night genre de toute ma vie donc je ne suis pas down d'avoir un one night, ce n'est pas moi. C'est sûr qu'il faudrait quelqu'un de récurrent, quand j'ai le goût de me coller c'est beau on se colle, mais sans que ce soit trop personnel ou trop important. Je suis gênée, moi, mettons mon chum, ça va prendre un an avant qu'il me voie toute nue, minimum.
« Je ne me considère pas quelqu'un de full sexuel dans la vie en général. J'ai tout le temps peur [que] si je couche avec un gars et qu'après ça, il dise sur Internet ou qu'il le dise à tous ses amis, ça me fait tellement peur que je ne le fais pas. »
Élisabeth a terminé le podcast en parlant de sa relation avec son ex Christo qui est maintenant un ami pour elle ainsi qu'en expliquant son parcours d'entrepreneure.