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Sommaire

Les services secrets recrutent et c'est très payant si tu parles l'une de ces 7 langues

Ça paie jusque dans les six chiffres!

Des bureaux fédéraux et un drapeau canadien.

Les services secrets recrutent des employés à Montréal qui parlent une de ces 7 langues

Éditeur Junior, Nouvelles

Tu cherches un emploi au Québec et que tu t’imagines dans un job digne d’un film d’espionnage international? Sache que c’est bien plus accessible que tu ne le crois. Si tu parles peux te vanter de parler plusieurs langues, ça tombe bien : tu remplis peut-être les critères d’embauche du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), ces fameux « services secrets », qui recrutent pour plusieurs postes au Canada.

Et si tu hésites, le salaire risque de te convaincre, puisqu'il peut grimper jusqu’à 120 000 $ par année.

À lire également : Voici combien de millions Justin Trudeau va empocher grâce à ses deux pensions à vie

L’agence fédérale est actuellement à la recherche de personnes pour occuper des postes d’analystes des communications en langues étrangères, notamment à ses bureaux de Montréal, Toronto (Ontario) et Burnaby (Colombie-Britannique).

Mais au juste, ça mange quoi en hiver? L’analyste est appelé à lire ou écouter de l’information dans des langues étrangères, à en évaluer la pertinence et l’importance, à en faire la traduction et à produire des rapports provisoires selon la valeur des renseignements recueillis. Le but? Ouvrir de nouvelles pistes d’enquête, selon l’annonce gouvernementale.

En plus de mener des recherches poussées et d’examiner divers enjeux sociaux, économiques, géopolitiques et ethnoculturels, l’analyste doit aussi mobiliser ses propres connaissances pour approfondir ses enquêtes culturelles.

« Il est donc essentiel que la personne retenue démontre un vif intérêt pour le domaine du renseignement et de la politique », souligne l’organisation.

Voici la ou les langues à maîtriser :

  • l’espagnol
  • l’arabe
  • le mandarin
  • le russe
  • le pendjabi
  • l’ourdou
  • l’hindi

Si tu te reconnais dans ce profil, voici ce qu’il te faut : un baccalauréat d’un établissement reconnu au Canada (Tout niveau d’études plus élevé pourrait être reconnu comme de l’expérience), au moins deux ans d’expérience en recherche, en analyse et en rédaction de rapports. Sache que, si tu as terminé un programme d’études à l’extérieur du Canada, tu dois faire évaluer ton diplôme à tes frais par un service reconnu d’équivalence.

À noter que de l'expérience en interprétation ou en traduction est un atout.

Tu coches toutes les cases? Tu pourrais alors toucher un salaire annuel allant de 99 392 $ à 120 917 $ si ta candidature est retenue.

Les candidats et candidates devront également passer des tests pour évaluer leur maîtrise d’une langue étrangère ainsi que du français ou de l’anglais.

Il faut aussi répondre aux exigences liées à l’obtention d’une cote de sécurité « très secret – approfondi ». Cela inclut une entrevue de sécurité, un test polygraphique et une enquête sur tes antécédents.

Et surtout, n’oublie pas : la discrétion est de mise. Il est important de ne parler de ta demande d’emploi qu’à ta douce moitié ou à des membres proches de ta famille, prévient l’annonce.

Tu as jusqu’au 11 juillet 2025 pour envoyer ta candidature.

Analyste des communications en langues étrangères

Salaire : 99 392 $ à 120 917 $ par année

Employeur : Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS)

C'est ici pour postuler

  • Éditeur Junior

    Jean-Michel Clermont-Goulet est journaliste et éditeur junior chez Narcity Québec. Diplômé de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) en journalisme, il a d’abord fait ses premières armes au sein d’un média spécialisé en techno avant d’embarquer dans la grande famille de Narcity Québec, où il a travaillé de 2019 à 2021. Après un passage dans l'équipe du média numérique 24 heures, où il a traité d’actualité locale, nationale et internationale, Jean-Michel est de retour en force en 2025 pour informer la communauté de Narcity. Bien qu’il soit intolérant au gluten, il mange de la politique à profusion et n’a pas peur de donner son opinion. Il accorde également une importance aux nouvelles concernant divers enjeux sociaux et environnementaux.

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