Alanis Desilet s'ouvre sur le revers de médaille de la « culture girl boss »
L'ancienne candidate d'OD, qui est maintenant à la tête de sa propre compagnie, partage souvent des messages qui supportent l'acceptation de son corps et de soi. Dans la foulée, Alanis Desilet fait une réflexion sur la « culture girl boss » et la pression que les femmes peuvent ressentir.
Dans un billet publié sur son blogue LaTroop, elle souligne qu'elle adore plusieurs aspects de ce mouvement.
« J’adore le message d’empowerment qu’on envoie aux femmes parce qu’elles sont full full assez top pour se pitcher dans [l'entrepreneuriat] et qu’elles ont absolument tout pour réussir. »
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… j’aimerais juste vous rappeler qu’on est tous des girl boss à notre façon. Que ce soit en coupant des pommes de terre au fuck*ng Belle Province ou bien que tu aies ton cabinet d’avocat.
Alanis Desilet, LaTroop
Elle pense donc que l'entrepreneuriat est une belle avenue, mais partage son impression sur le fait que dernièrement, il semble que c'est la seule manière de « réussir » selon la société.
Elle est d'avis que la réussite est subjective :
« … tu peux te satisfaire de peu professionnellement et je pense que tout est une question de mindset. J’ai pas envie que mes enfants grandissent dans un monde où ils croiront que s’ils ne finissent pas comme Syndey Crosby ou Beyonce, qu’ils n’ont pas réussi. »
Elle ajoute qu'elle ressent souvent la pression d’être une boss-babe-starbucks-freak-goal-getter » et invite les gens à définir leur propre idée du succès.
Être une « girl boss » peut avoir plusieurs définitions et Alanis souhaiterait qu'il y ait plus de ressources pour aider les membres de la société à trouver ce qui pourrait les rendre heureux professionnellement.