Fin du port du masque au Québec : Voici les exceptions à retenir
Il reste obligatoire pour certaines personnes!

Luc Boileau, le directeur national de santé publique par intérim. Droite : Pancarte sur le port du masque.
Tu vas enfin pouvoir sourire à pleines dents parce que c'est officiel : le port du masque n'est plus obligatoire au Québec dans les lieux publics. Ce vendredi 13 mai, le ministère de la Santé et des Services sociaux a tout de même rappelé aux citoyen.nes sur ses réseaux sociaux que certaines exceptions demeurent, alors voici dans quelles circonstances le couvre-visage est toujours de mise.
« Le choix de porter le masque dans les lieux où il n’est plus obligatoire demeure à la discrétion de chaque personne. Respectez celles et ceux qui souhaitent continuer à se prévaloir de ce moyen de se protéger efficacement contre la COVID-19 », a prévenu Santé Québec sur ses réseaux sociaux.
D\u00e8s le 14 mai, il ne sera plus obligatoire de porter le masque dans les lieux publics ferm\u00e9s ou partiellement couverts.\n\nPour les d\u00e9tails pic.twitter.com/CsHurwVdJH— Sant\u00e9 Qu\u00e9bec (@Sant\u00e9 Qu\u00e9bec) 1651686215
Tu devras donc continuer de porter le masque dans les transports collectifs, dans les cliniques médicales et les CSHLD (excluant les centres de santé mentale). Il sera aussi obligatoire pendant les cinq jours suivant un isolement lorsqu'une personne a été testée positive à la COVID-19. Cette période sera de dix jours si tu vis avec quelqu'un qui est infecté par le virus.
Santé Québec recommande de mettre le couvre-visage pour celles et ceux qui souffrent d'une maladie respiratoire ou d'une immunodépression, pour protéger les personnes vulnérables et lorsque la distanciation sociale est difficilement respectable.
Concernant la fin du masque dans les transports collectifs, pour l'instant, aucune date n'a été avancée.
« Il n'y a pas une date précise, on va vous revenir avec ça. [...| On a pour objectif de faire en sorte que nous puissions relever cette obligation-là au cours du printemps », a déclaré Luc Boileau, le directeur national en santé publique par intérim, en conférence de presse ce 4 mai.
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