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12 clubs maintenant fermés que tous les gens de la Rive-Nord n’oublieront jamais

On refait le party comme en 2008?
Rédactrice en chef

L’industrie des bars, c’est une roue qui tourne. Combien de fois voit-on un bar fermer et rouvrir sous un autre nom? Toutefois, ce n’est jamais le même bar, le même concept ni la même ambiance.

En 2016, les clubs sur la Rive-Nord c’est presque mort. On aime les ambiances plus simples avec les bars plus relax entre amis... ou on va totalement à l’extrême avec les 1001 festivals EDM.

Je crois sincèrement que la nouvelle génération ne connaitra jamais les émotions que ces clubs nous ont fait vivre, et voilà pourquoi je joue de nostalgie aujourd’hui.

Voici les 12 clubs où tu as clairement le plus tripé sur la Rive-Nord de la fin des années 90 aux 10 premières années des 2000 :

Crédit photo - IzabelleBee

Fuzzy Laval — fermé.

Les légendaires jeudis Fuzzy! Si t’es allé, tu te souviens de la ligne interminable pendant le règne de ce club vers 2007. C’était la place où aller, avec les promos de bière (2 pour 4 $ dans mes souvenirs?) et surtout les cages qui montent et descendent pour les plus courageuses... ou pompettes. Faudrait surtout pas oublier de parler des partys avec les bracelets fluorescents : vert = célibataire, jaune = tu peux essayer, rouge= c’est non.

Le Sugar Nightclub — devenu la Prohibition.

Le Sugar, c’était un club dans un décor de bois du style cabane à sucre. C’était officiellement le club où tu pouvais l’échapper pour vraiment pas cher avec leurs drinks à 1 $ le vendredi. La clientèle était super jeune, mais super wild!

Ocean Drive — devenu l’Element, puis fermé.

L’OD, c’est le premier club où j’ai commencé à sortir. Je vais toujours y accorder une petite valeur sentimentale. C’était la place avec les partys thématiques les plus cool. Body painting, déguisements, nains (... sérieux), femmes en balançoires qui pendent du plafond : bref, l’ambiance était parfaite et le staff aussi. Leur page Facebook est encore ouverte et je me suis amusée à aller regarder les vieilles photos. S’il y a une chose qui caractérise ce club c’est les cheveux en spike et les cols relevés. Tsé la, l’époque de la danse tectonique.

Golden Boîte de nuit — devenu Le Station (voir ci-dessous).

Les vendredis, c’était les vendredis Divas au Golden! Le club où tu trouvais ça vraiment bizarre que le bouncer filme ta carte avant de te laisser entrer. C’était la place cool où aller, surtout pour les fumeurs, parce qu’il y avait une terrasse chauffante. (Tsé dans le temps où les gens fumaient sur les terrasses). Des vodkas canneberges pour 3,50 $, donc 5 $ tips inclus, on aimait ça en titi à 18 ans flush. Ils avaient les meilleurs sex partys thématiques!

Le Station — devenu le Général Sherman

Le Station, c’était comme un Golden, mais en plus beau, avec des partys plus cool. On aimait bien danser sur le son de Dj Volpato.  Leurs partys d'Halloween étaient vraiment fous, avec presque tout le club costumé!

Crédit photo: Google maps

Coconut Groove — fermé.

Pour le Coco, c’est vraiment dur trouver des photos parce que c’était bien avant l’ère des cellulaires avec caméras intégrées! Le club était toutefois pas mal connu pour son bon vieux hip-hop et ses bières à 2 $ le vendredi! Apparemment plancher du 2e étage était assez inquiétant! On aimait également cette place pour les rythmes de la compagnie créole à 2 h 30!

Le Pink — devenu le Chalet (voir ci-dessous).

Le club gros comme ma poche au « Centre-ville Laval » où on adorait sortir! Les vendredis récessions et la formule à 2 $ faisaient du bien.

Chalet Laval — fermé.

Ce qui se passe au Chalet reste au Chalet! God qu’il s’en est passé des choses au Chalet Laval. C’était le point de repère officiel des fans de Jersey Shore, amicalement appelés douchebags. Je dois avouer que leur branding incluant le staff était assez incroyable. T’as pas tripé au Chalet si t’as pas pris un shooter avec le beaucoup trop wild J-S ou la beaucoup trop belle Ariane!

Tops - Déménagé à Boisbriand, puis fermé.

Le Tops c'était le bar 21 ans et plus de Laval. On l'aimait principalement parce qu'il n'y avait pas de mineurs. C'était beaucoup plus classy. On aimait la place puisqu'on pouvait y manger et boire une bonne coupe de vin, et après rester pour danser ou jouer une partie de billard.

Bourbon Street — fermé.

Les fameux lundis Bourbon. Le Bourbon c’était la place idéale pour le party le lundi parce que tu pouvais également louer une chambre pour ne pas avoir à rentrer en voiture! Tant mieux, parce que c’était loin en titi! Et que dire de la terrasse infiniment grosse?

Crédit photo : JacintheBélanger 

Brasserie Ste-Thérèse — incendiée.

La BST c’était le bar réputé pour être lousse sur les cartes. Grands rivaux des jeudis Fuzzy, les jeudis de la BST étaient toujours remplis.

Red Lite — fermé.

Le Red Lite, ce n’était pas un club, mais un afterhours. Il y avait 2 pièces avec différents styles de musique (Hip-hop/techno), séparées par une pièce cosy avec des divans. Bref, c’est l’ancêtre des EDM partys de cette génération. Il y avait des cages, comme tout bon club de cette époque. Les plus courageux enchainaient Fuzzy, Red Lite et Beach Club.

Cet article t'as rendu nostalgique? Un party hommage «Remember the old clubs » aura lieu au Rose Ange Night Club le dimanche 9 octobre! C'est un événement qui réunira le staff des défunts clubs et anciens propriétaires et clients le temps d'une soirée mémorable. Évidemment, la musique des DJ's de l'époque seront de la partie!

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  • Rédactrice en chef

    Embauchée en 2016, Izabelle dirige Narcity Québec en tant que rédactrice en chef depuis 2018. Diplômée d’un baccalauréat en journalisme de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), elle gère l’équipe éditoriale et joue un rôle clef dans l’évolution du média.

    Izabelle a également représenté Narcity lors de conférences sur l'industrie des médias en 2018 et 2024, aux côtés d’acteurs majeurs de l’industrie. En 2020, grâce à son leadership et au travail acharné de son équipe, Narcity Québec a atteint un record historique d’audience sur Narcity.com.

    Depuis 2025, Izabelle Bee collabore avec l’agence Rally en tant que créatrice de contenu. Son rôle se concentre exclusivement sur des projets sur les réseaux sociaux, et n'ont aucun lien avec le contenu éditorial de Narcity Québec.

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