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66 % des Canadiens à l’aise de voir moins de gens et voici l’effet sur leur santé mentale

Moins d’humains, plus heureux? 🤔

​Des gens dans un parc à Montréal.

Des gens dans un parc à Montréal.

Journaliste nouvelles, Narcity Québec

Beaucoup de gens font la fête comme jamais depuis le retrait des mesures et d'autres célèbrent avec un cercle social plus restreint. L'introduction de nouveaux concepts comme celui de « distanciation » durant la pandémie; la fin des câlins et des poignées de main, ainsi que les couvre-feux successifs ont modifié les rapports interpersonnels. Tout indique que la pandémie de la COVID-19 a fait en sorte que les personnes ont réévalué certains aspects leur vie, incluant leurs amitiés.

Selon un sondage de LifeWorks, publié le jeudi 17 mars, deux tiers des Canadien.nes (66 %) se disent maintenant à l'aise avec le fait d'avoir moins d'interactions sociales qu'iels en avaient avant la pandémie. Ceux et celles qui s'accommodent de la baisse des interactions sociales auraient aussi une meilleure santé mentale que la moyenne nationale, selon ce coup de sonde.

Selon Paula Allen, directrice mondiale et première vice-présidente, Recherche et mieux-être global chez LifeWorks, les gens doivent recommencer à tisser des liens.

« De toute évidence, les gens semblent à l’aise d’avoir moins d’interactions sociales, et même si nous nous y sommes habitués, cela ne veut pas dire que c’est la meilleure chose à long terme. Avant la pandémie, on observait une tendance générale à s’isoler davantage, un phénomène qui a désormais pris de l’ampleur. Il s’agit là d’un autre facteur de risque pour la santé mentale qui devrait préoccuper les employés et les employeurs. Cela peut prendre du temps, mais nous devons commencer à tisser des liens avec les autres plus que nous le faisons actuellement. »

Le sondage révèle aussi que 30 % des Canadien.nes ont déclaré avoir modifié leurs objectifs professionnels en raison la pandémie et que 11 % des répondant.es prévoient changer de carrière.

Le sondage a été mené du 1er au 8 février 2022 auprès de 3 000 répondant.es au Canada.

La photo de couverture est utilisée à titre indicatif seulement.

On rappelle à toute personne souffrant du mal de vivre ou connaissant une personne en détresse que plusieurs ressources existent, comme 1-866-REVIVRE (738-4873).

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