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Variole simienne : Le nombre de cas continue d'augmenter au Québec et voici quoi savoir

Le fédéral considère la situation « très préoccupante ».

​Une éprouvette avec une étiquette indiquant « Monkeypox ».

Une éprouvette avec une étiquette indiquant « Monkeypox ».

Éditrice junior, Narcity Québec

La variole simienne fait jaser depuis qu'elle est entrée au pays fin mai dernier. L'Agence de la santé publique du Canada (ASPC) a récemment mis à jour le nombre de cas de la maladie au pays et il est en hausse par rapport à la semaine précédente. Le gouvernement fédéral considère maintenant que la situation est « très préoccupante ».

En date du 29 juillet, ce sont 803 cas qui ont été enregistrés au Canada, dont 359, au Québec. Or, le 22 juillet dans la province, il y avait 331 cas répertoriés. Notons qu'au début du mois, le 4 juillet 2022, on comptait 211 cas, ce qui signifie que depuis l'entrée du virus sur le territoire, c'est-à-dire depuis deux mois environ, le nombre de cas ne fait qu'augmenter de manière significative.

Le Québec est d'ailleurs la deuxième province la plus touchée par la maladie, après l'Ontario.

« Dans le monde, en date du 25 juillet, plus de 16 000 cas confirmés de variole simienne ont été signalés dans 75 pays, territoires et régions des six régions désignées de l’Organisation mondiale de la Santé, ce qui représente une hausse de 48 % du nombre de cas à l’échelle mondiale au cours de la dernière semaine de déclaration, comparativement à la semaine précédente », avait déclaré Dr Theresa Tam, l’administratrice en chef de la santé publique, par voie de communiqué ce 27 juillet.

Notons que ce sont les hommes qui ont des contacts sexuels intimes avec d'autres hommes qui seraient les personnes les plus à risque. Selon le gouvernement, moins de 1 % des cas confirmés au pays sont des femmes ou des personnes de moins de vingt ans.

Cependant, il est important de rester vigilant.e, car la variole simienne « peut se transmettre à n'importe qui par contact étroit avec une personne infectée ou des objets contaminés ». Il est également bon de spécifier que ce n'est pas une ITSS : les contacts étroits peuvent être de nature non-sexuelle.

« Bien que l’éclosion mondiale de variole simienne soit très préoccupante, nous espérons que si nous unissons nos efforts au Canada et à l’échelle mondiale, nous saisirons cette occasion de limiter la propagation », a poursuivi Dr Theresa Tam.

Ces mots rejoignent ceux de Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur de l'Organisation mondiale de la Santé : « Il s’agit d’une épidémie à laquelle on peut mettre fin en appliquant les bonnes stratégies dans les bons groupes. »

La photo de couverture est utilisée à titre indicatif seulement.

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